Quand, à la fin d'un roman d'environ 600 pages, deuxième tome d'une quadrilogie sensée exprimer sa morale sociale, l'auteur se rend compte d'avoir encore plein d'idées, mais pour une longue série de science-fiction (maintenant on la définirait steam-punk), il ne peut que laisser les idées en cadeau aux lecteurs sensibles au sujet.
C'est ce qui, à mon avis, justifie les dernières pages de Travail, (l'un des romans les plus utopiques d'Émile Zola) où Josine, Sœurette et Suzanne se livrent à un récit à trois voix pour bercer le protagoniste, Luc Froment, vers son bien mérité repos éternel.
Bonne lecture.